COSTE Laurent

Pionnier de l’automobile

Un BUS Blanc pour relier Nice à cannes

Famille : Michel Thomé

Le  grand père maternel de Monsieur Thomé (coloti dans notre lotissement) a été un pionnier de l’automobile et un des premiers,  si ce n’est le premier, à réaliser la liaison Nice cannes avec un Bus blanc, ce qui a été repris par la suite par les « rapides du littoral » puis « Côte d’azur »

Laurent Coste est né en 1883 à Bourg-Argental dans la région de Sainte Etienne. il a très tôt été attiré par  l’engouement pour l’automobile, mais à 31 ans, il part à la guerre de 14/18  où il s’illustre.

1914

Avec l’aimable autorisation de la famille Thomé en illustration du présent article dans notre site web – Photos non libre de droits –

A la fin de la Grande Guerre

De retour dans sa région natale, il crée une des premières sociétés de transport de voyageurs.

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Laurent Coste à droite de la photo dans son atelier (La ressemblance avec Michel Thomé est « frappante »)

Première société de transport de voyageurs

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Laurent Coste à Gauche sur la photo

Avec l’aimable autorisation de la famille Thomé en illustration du présent article dans notre site web – Photos non libre de droits –

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L’automobile en 1914

A titre d’exemple, en 1914 dans notre région (les Alpes-Maritimes) il y avait une automobile pour 275 habitants. Elle était encore un objet de luxe non seulement par son prix élevé mais aussi par son coût de fonctionnement accru par le renchérissement de l’essence.

De 1919 à 1939,

la guerre a provoqué de profonde mutation au sein de la société européenne. Des fortunes se sont dissoutes, d’autres se sont créées, le mécénat n’est plus vraiment à l’ordre du jour…

En 1934, Laurent Coste est à Nice.

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Coste au volant pour la liaison Nice cannes avec son Bus blanc

De 1946 à nos jours, l’immédiat après-guerre se caractérise par de nouveaux changements radicaux.

Au niveau sportif, la réglementation impose désormais que toutes les épreuves sportives soient organisées que par des associations sportives automobiles (ASA)

Courses automobiles

Dès 1946, le club développe donc l’ASAC Nice, qui organise toujours de nos jours le célèbre rallye Jean Behra “moderne”. Les nouveaux membres de l’ACN sont surtout des industriels, qui voient en l’essor de l’automobile des retombées économiques, mais aussi le moyen de développer la notoriété de Nice et de la Cote d’Azur.

INA Archives

C’est la période la plus prolifique du club en matière de sport automobile, avec des épreuves de renommées internationales

Film vidéo d’archives – INA.fr – Cliquez sur la photo ci-dessous

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BARTHOLDI Sculpteur Français

Cousinage avec la Famille BARBOTTE-BLONDEAU

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Un portrait d’Auguste Bartholdi. National Park Service, Statue de la Liberté NM

Auguste Bartholdi, sculpteur français qui a conçu la Statue de la Liberté.

Sur le site du National Park

Au début de sa carrière, Bartholdi a étudié intensivement l’art, la sculpture et l’architecture. De 1855 à 1856 Bartholdi a entrepris un voyage de changement de vie dans toute l’Europe et au Moyen-Orient avec quelques autres artistes. Quand ils ont visité le Sphinx et les pyramides de Gizeh en Egypte, Bartholdi a découvert sa passion pour les monuments publics à grande échelle et des sculptures colossales.

En 1865, Edouard de Laboulaye a proposé qu’un monument représentant la liberté et de la démocratie est créé pour les États-Unis. Bartholdi était un grand partisan de l’idée de Laboulaye et en 1870, il a commencé à concevoir la Statue de la « Liberté éclairant le monde. »

La Statue de la Liberté, inaugurée en 1886 a été offerte par la France aux États-Unis et placée ensuite sur Bedloe’s island, à l’entrée du port de New York……

Liberté éclairant le monde

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Bartholdi dans son atelier

« La Statue de la Liberté éclairant le monde » était un cadeau d’amitié du peuple de France aux États-Unis et est reconnu comme un symbole universel de la liberté et de la démocratie. Désigné comme monument national en 1924. Les employés de la National Park Service  prennent soin de la statue de cuivre colossale depuis 1933.

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Feux d’artifice, le 28 Octobre 1886, jour de l’ouverture,

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La statue a été entièrement construit à Paris et présenté par l’Union américaine Franco à l’Ambassadeur des États-Unis en 1884. En 1886, Bartholdi a supervisé l’ensemble de la Statue à New York et a participé à son inauguration. Lors de la cérémonie, Bartholdi a été présenté avec la clé de la ville et plus tard a escaladé la statue pour libérer le drapeau français tricolore qui voilait le visage de la Liberté. Bartholdi meurt de la tuberculose en 1904.

Découvrez sa fiche en cliquant sur ce lien : ancetre_bartholdi

 

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Capitaine Fischer (avenue du)

Lien vers la  Fiche détaillée du capitaine-fischer en pdf

Informations militaires
Conflit : 1914-1918


Grade, unité : Capitaine – 226e Régiment d’Infanterie (RI)
Matricule au recrutement : 1842 – Bureau de Versailles (78) – Classe 1899
Décorations
Chevalier de la Légion d’Honneur
Croix de guerre avec étoile de vermeil

Citation : Matricule 973, capitaine : vaillant officier. Tombé au champ d’honneur, face à l’ennemi, le 25
Août 1914, à Courbesseaux, en arrêtant l’envahisseur Croix de guerre avec étoile de vermeil (JO
n°324 du 28/11/1920).
Mention Mort pour la France : Oui

Autres informations

Tout jeune et récemment promu, le Capitaine Fischer était en congé de convalescence, à la suite d’un long séjour au Maroc
lorsque la mobilisation éclata. Sans attendre la fin de son congé, il demanda un commandement et fut affecté au 226e. Il avait en poche (et me l’a personnellement montrée), signée de la main du Kayser, une autorisation pour passer une partie de sa convalescence en Alsace -Terre d’Empire- son pays d’origine. Il fut, hélas ! de ceux qui tombèrent tout de suite et ce 25 août même, il était tué à la tête de sa Compagnie. Sa mort fut certainement une grosse perte pour le Régiment car il était assurément destiné à prendre, à bref délai, le commandement d’un Bataillon duquel, avec sa valeur et son ardeur juvénile, il eut fait une unité d’élite. Par une malchance incroyable, ce jour néfaste du 25 août vit disparaître tous nos jeunes officiers, ne nous
laissant, comme cadre actif, que de vieux officiers fatigués et manquant totalement de l’allant nécessaire en l’occurrence.
(Extrait du Journal de guerre du capitaine Lucien Proutaux, écrit du premier au dernier jour de la Grande Guerre 1914-1918)

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Sources : Mémoire des Hommes, Memorial Genweb, Geneanet, Souvenirs de campagne Grande Guerre 14-18, Journaux Officiels de la république Française, Ville de Courbesseaux