BARTHOLDI Sculpteur Français

Cousinage avec la Famille BARBOTTE-BLONDEAU

bartholdi-1_2
Un portrait d’Auguste Bartholdi. National Park Service, Statue de la Liberté NM

Auguste Bartholdi, sculpteur français qui a conçu la Statue de la Liberté.

Sur le site du National Park

Au début de sa carrière, Bartholdi a étudié intensivement l’art, la sculpture et l’architecture. De 1855 à 1856 Bartholdi a entrepris un voyage de changement de vie dans toute l’Europe et au Moyen-Orient avec quelques autres artistes. Quand ils ont visité le Sphinx et les pyramides de Gizeh en Egypte, Bartholdi a découvert sa passion pour les monuments publics à grande échelle et des sculptures colossales.

En 1865, Edouard de Laboulaye a proposé qu’un monument représentant la liberté et de la démocratie est créé pour les États-Unis. Bartholdi était un grand partisan de l’idée de Laboulaye et en 1870, il a commencé à concevoir la Statue de la « Liberté éclairant le monde. »

La Statue de la Liberté, inaugurée en 1886 a été offerte par la France aux États-Unis et placée ensuite sur Bedloe’s island, à l’entrée du port de New York……

Liberté éclairant le monde

bartholdiinhisstudio_resized_1
Bartholdi dans son atelier

« La Statue de la Liberté éclairant le monde » était un cadeau d’amitié du peuple de France aux États-Unis et est reconnu comme un symbole universel de la liberté et de la démocratie. Désigné comme monument national en 1924. Les employés de la National Park Service  prennent soin de la statue de cuivre colossale depuis 1933.

statue_history
Feux d’artifice, le 28 Octobre 1886, jour de l’ouverture,

stli-1764-copy_2-1_1

La statue a été entièrement construit à Paris et présenté par l’Union américaine Franco à l’Ambassadeur des États-Unis en 1884. En 1886, Bartholdi a supervisé l’ensemble de la Statue à New York et a participé à son inauguration. Lors de la cérémonie, Bartholdi a été présenté avec la clé de la ville et plus tard a escaladé la statue pour libérer le drapeau français tricolore qui voilait le visage de la Liberté. Bartholdi meurt de la tuberculose en 1904.

Découvrez sa fiche en cliquant sur ce lien : ancetre_bartholdi

 

Retour Ancêtres des colotis

 

 

Capitaine Fischer (avenue du)

Lien vers la  Fiche détaillée du capitaine-fischer en pdf

Informations militaires
Conflit : 1914-1918


Grade, unité : Capitaine – 226e Régiment d’Infanterie (RI)
Matricule au recrutement : 1842 – Bureau de Versailles (78) – Classe 1899
Décorations
Chevalier de la Légion d’Honneur
Croix de guerre avec étoile de vermeil

Citation : Matricule 973, capitaine : vaillant officier. Tombé au champ d’honneur, face à l’ennemi, le 25
Août 1914, à Courbesseaux, en arrêtant l’envahisseur Croix de guerre avec étoile de vermeil (JO
n°324 du 28/11/1920).
Mention Mort pour la France : Oui

Autres informations

Tout jeune et récemment promu, le Capitaine Fischer était en congé de convalescence, à la suite d’un long séjour au Maroc
lorsque la mobilisation éclata. Sans attendre la fin de son congé, il demanda un commandement et fut affecté au 226e. Il avait en poche (et me l’a personnellement montrée), signée de la main du Kayser, une autorisation pour passer une partie de sa convalescence en Alsace -Terre d’Empire- son pays d’origine. Il fut, hélas ! de ceux qui tombèrent tout de suite et ce 25 août même, il était tué à la tête de sa Compagnie. Sa mort fut certainement une grosse perte pour le Régiment car il était assurément destiné à prendre, à bref délai, le commandement d’un Bataillon duquel, avec sa valeur et son ardeur juvénile, il eut fait une unité d’élite. Par une malchance incroyable, ce jour néfaste du 25 août vit disparaître tous nos jeunes officiers, ne nous
laissant, comme cadre actif, que de vieux officiers fatigués et manquant totalement de l’allant nécessaire en l’occurrence.
(Extrait du Journal de guerre du capitaine Lucien Proutaux, écrit du premier au dernier jour de la Grande Guerre 1914-1918)

Retour

Sources : Mémoire des Hommes, Memorial Genweb, Geneanet, Souvenirs de campagne Grande Guerre 14-18, Journaux Officiels de la république Française, Ville de Courbesseaux

Lieutenant CHAIX (avenue du)

Lien vers la Fiche détaillée du lieutenant-chaix

Informations militaires

Conflit : 1914-1918

Grade, unité : Lieutenant – 67e Régiment d’Infanterie (RI) Matricule au recrutement : 568 –bureau Paris 6 ème – Classe 1898

Décorations Chevalier de la Légion d’Honneur à titre posthume Croix de guerre

Naissance Date : 03/05/1878 Département : Seine Commune : Paris XVIème Décès Date : 22/08/1914 à l’âge de 36 ans Pays: France

Commune : Lexy (Meurthe et Moselle) Genre de mort : Tué à l’ennemi d’une balle dans le cou Mention Mort pour la France : Oui Inhumation Département : Meurthe et Moselle (54) Commune : Lexy Lieu : Initialement inhumé par les Allemands sur la droite de la route de Lexy-Cosne.

Il y est inscrit sous le nom de René B. CHAIX au grade de capitaine ( ?). Il figure aussi sur le Monument Commémoratif du 67e R.I. de Soissons sous le nom de René BOURDIER-CHAIX au grade de lieutenant. Son nom est orthographié CHAIX sur le monument aux morts et la plaque commémorative de l’église de Garancières (78).

Autres informations

Fils naturel de Marguerite BOURDIER. Il entre à Saint-Cyr en 1899 – Promotion d’In Salah (1ère Compagnie). Il fait la majeure partie de sa carrière sous le nom de BOURDIER (sous-lieutenant au 73e R.I. en 1901 ; lieutenant en 1905) et prend le nom de René BOURDIER-CHAIX à partir de 1911 lorsqu’il est adopté (à 33 ans) par Paul Léon « Alban » Napoléon CHAIX, administrateur directeur de l’imprimerie CHAIX, officier de la Légion d’Honneur (dossier19800035/0300/40424) qui avait épousé sa mère en 1893. En 1914, il est lieutenant au 67e R.I. lorsque son unité est mobilisée à Soissons et déployée sur le « rideau défensif » des Hauts de Meuse.

Sources : Mémoire des Hommes, Memorial Genweb (photo Robert DUPAYS), Archives de la ville de Paris, Geneanet